Description

À partir des événements et des épreuves qui ont émaillé, au cours des vingt dernières années, l’actualité française et malienne, j’ai rédigé sur le vif une trentaine de nouvelles, pour lesquelles j’ai choisi de me mettre dans la peau d’un jeune malien et de le laisser s’exprimer librement.

« Nous, les Africains, avons la chance que les toubabs soient toujours prêts à nous venir en aide, mais ils ne semblent pas décidés à nous rassurer sur la manière employée pour réaliser cet objectif. C’est toujours le même problème avec eux, car même si personne n’ose mettre en doute leur disponibilité, on ne sait jamais de quelle manière ils vont décider de le faire ; s’agit-il pour eux d’ouvrir son porte-monnaie pour prêter des sous ou en donner ? C’est important, parce que la quantité n’est jamais la même. En tout cas, la réponse devrait venir d’elle-même puisque chacun sait qu’on ne prête qu’aux riches. »

La vie professionnelle de Didier Veller l’a conduit dans une dizaine d’ambassades de France, en Amérique centrale, Afrique, Moyen-Orient et Asie centrale. Aujourd’hui à la retraite, il partage son temps entre des projets de développement social, ciblés sur la formation professionnelle, et l’écriture.

Ecoutez une interview de l’auteur ici.

L’auteur sera présent au salon littéraire du 29 Juin à Plouézec.

Découvrez l’avis des lecteurs :

Profonde humanité, qui fait plaisir à lire. »

« Le contenu du livre est intéressant avec des réflexions intéressantes sur la coopération et qui parfois peuvent être assez techniques. J’ai trouvé le temps inégal dans le sens que certains thèmes étaient plus sérieux que d’autres et donc pourraient être déstabilisants pour les lecteurs et j’aurais aimé une introduction qui fait plus le lien entre les différentes chroniques. Finalement j’aurais aimé avoir plus de perspectives Maliennes. »

 » On retire de ce livre une grande leçon d’humanisme ». – Sandrine

« J’ai bien ri en lisant « Du blanc au noir ». – Monique

« L’auteur fait passer ses idées avec beaucoup d’humour ». – Marielle

« Je viens de refermer les pages de ce livre. La perspective que l’auteur a adopté de faire parler un jeune malien pour explorer des thématiques liées aux relations humaines, aux défis sociaux et aux interactions culturelles reflète un profond humanisme. Ce choix narratif facilite la compréhension des réalités vécues par les populations locales. Cette écriture est empreinte d’une affection sincère et d’une réflexion documentée sur la façon dont les aides internationales sont mises en œuvre et perçues.
Le portrait teinté d’humour de cet avocat devenu professionnel de la politique montre les aspects nuancées de cette figure publique et de son action sur le continent africain. Je l’ai rencontré dans les années 80, ami et avocat de Bernard Tapie, et j’avais la même impression. Les idées sont belles, laissons lui au moins cette qualité.

En ces temps où l’obscurantisme prend l’ascendant, cela fait du bien. Merci sincèrement »

–Jean-Pol