Je porte le nom de l’assassin de mon père
Roman dédié à son père génétique (FP?), massacré et enterré sauvagement le 4 /8 /44 et à son fils victime collatérale resté choqué à vie. Le père Le Fennec commettait des forfaits et accusait sa femme d’en être responsable de par sa conduite passée : « Si tu n’avais pas… je n’aurais pas… », répétait-t’il à souhait devant leur fille