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Je porte le nom de l’assassin de mon père

Roman dédié à son père génétique (FP?), massacré et enterré sauvagement le 4 /8 /44 et à son fils victime collatérale resté choqué à vie.

   Le père Le Fennec commettait des forfaits et accusait sa femme d’en être responsable de par sa conduite passée : « Si tu n’avais pas… je n’aurais pas... », répétait-t’il à souhait devant leur fille Germaine. De ce fait, sa mère ne manquait pas de projeter sa haine sur l’enfant, et ceci, à souhait. Ils encourageaient leurs trois autres enfants à maltraiter leur petite sœur, les mettant ainsi à l’aise pour l’abaisser et lui rappeler systématiquement :  « c’est de ta faute tout ça C’est ainsi que tout était permis aux cinq membres de la famille pour haïr et maltraiter la «jeune de trop».
   Le quotidien de l’enfance de Germaine était ponctué de réflexions restées en suspens, de phrases jamais terminées, de sous-entendus dévalorisants.

   Le père de Germaine était violent, sournois, pervers envers « sa » petite. Il encourageait un voisin incestueux ainsi que des compères de beuveries à violer Germaine, alors que parallèlement il violait d’autres femmes et enfants, il se dédouanait de toutes responsabilité puisque si sa femme n’avait pas fait ceci, lui, n’aurait pas fait cela. De plus, la présence du fruit des amours de son infidèle épouse lui rappelait sans cesse ses crimes. Il n’a pas hésité, entre autres cruautés, à pendre le chien (seul ami consolateur de la gamine) en la forçant à assister à la scène tout en lui interdisant d’exprimer une quelconque émotion.

   Etant adultes, Germaine et son fils unique https://www.editions-maia.com/wp-content/uploads/2020/11/9782379164330_C-1-1.jpg ont toujours été rejetés, spoliés, victimes de médisances et autres par leur famille

   Ce n’est qu’à l’âge de 60 ans qu’elle a enfin apprit que son père biologique était un soldat motorisé allemand. La famille Le fennec possède ses papiers d’identité mais n’a jamais voulu les transmettre à Germaine.

   https://www.editions-maia.com/wp-content/uploads/2020/11/9782379164330_C-1-1.jpg et Germaine ont deux familles mais n’en n’ont aucune en définitive. Ils ont survécu aux maltraitances physiques, psychiques, mentales … mais leurs âmes sont déchirées à tout jamais.

               Pour découvrir la plume de Germaine Gonnet-Pellion, cliquez ici !