Même si on n’entend rien à la motocyclette, en lisant le livre de Gilles Treton, on a envie d’en piloter une, de ressentir cette souplesse pneumatique, cette ivresse dominée, ce rapport à l’espace, à la nature grande ouverte, comme un témoin privilégié dans la saisie du monde. C’est presque un clan que forment les hommes…
