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D'eau et de cendres

de Claude Brahic
ISBN: 978-2-37916-301-2

18,00

Ma plume a décidé de ce roman pour trois raisons. Les lieux ; parce que je suis né dans le coin et que les gens de ma famille ont vécu là. C’est plus facile ! Les dialogues entre les gens ; car la langue vient seule, c’est celle de tous les jours. Je la connais.
Le caractère de chaque acteur ; qui est le reflet de leur personnalité. Alors, l’âpreté des propos, le naturel des réparties, les monologues intérieurs, sont dressés par l’hyper-réalisme de chaque protagoniste. Il faut juste écrire ce que l’on entend.

Catégorie : Product ID: 7953

Vie du livre

Description

Ma plume a décidé de ce roman pour trois raisons. Les lieux ; parce que je suis né dans le coin et que les gens de ma famille ont vécu là. C’est plus facile ! Les dialogues entre les gens ; car la langue vient seule, c’est celle de tous les jours. Je la connais.
Le caractère de chaque acteur ; qui est le reflet de leur personnalité. Alors, l’âpreté des propos, le naturel des réparties, les monologues intérieurs, sont dressés par l’hyper-réalisme de chaque protagoniste. Il faut juste écrire ce que l’on entend.
D’aucuns diront : « encore une histoire Cévenole, avec des rouspéteurs, des têtus, des gens bruts de décoffrage, des empêcheurs de tourner en rond… » Et moi j’ajoute : oui, mais ils sont si simples, si honnêtes, serviables et respectueux qu’ils en deviennent attachants. Cela valait bien un nouvel opus, non ?

Né à Alès, quartier ouvrier de Tamaris d’un père métallo et d’une mère couturière, Claude Brahic voulait aller au lycée pour faire des études littéraires. Il se retrouva ajusteur puis dessinateur en constructions métalliques parce que ses parents lui disaient que « quand on sait faire quelque chose de ses doigts on mange à sa faim ». Après la guerre d’Algérie, son mariage et 2 enfants, il se trouve à Péchiney et entreprend des études supérieures à 30 ans. Il fondera son entreprise, commercera avec les plus grandes entreprises industrielles de France, puis du monde…
Maintenant qu’il a les cheveux en hiver permanent, il a laissé sa « Maison » à son fils et se contente de vivre au pays de ses ancêtres, de voyager à travers le monde, de faire glisser ses couteaux à peindre sur la toile revêche. De temps en temps, il dialogue avec son stylo et ses feuilles de papier pour se faire plaisir. Si c’est également pour le vôtre, c’est tant mieux, son but est atteint. C’est tout ce qu’il demande.

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